Je pense que je vais peut-être réorienté mon journal sur mes rêves.
Ils sont très fructueux. Et me parlent davantage de ma vie inconsciente.
Je suis beaucoup partie à l’aventure… Ce que je retiens à mon réveil par contre, est très mince. Concrètement. Peut-être le plus marquant.
Régulièrement, c’était comme si je partais dans un monde parallèle, un autre monde. Un monde qui m’est propre comme partagé avec les autres. Un deuxième monde.
Cette nuit j’étais partie dans une école… Qui comprenait tous les âges… De la maternelle aux secondaires, voir supérieures. L’atmosphère était sombre, voir lugubre comme lumineuse. Avec un monde de joie et un autre caché. Ordonné et très ordonné, neuf et vieux. Un dédale incompréhensible de pièces et de couloirs d’un bâtiment couvrant une assez grande surface, semblant représenté une multitude d’âges.
Ce dont je me souviens c’est qu’une fois arrivé pendant la nuit, il y avait une deuxième vie nocturne pour certains. En journée j’avais faite la rencontre d’un garçon séduisant et rebelle. Dont je fus fortement attirée sans pouvoir l’expliquer. Dans la nuit nous nous sommes retrouvés pour une aventure, l’attirance était réciproque et nous nous sommes cachés pour vivre cette attirance, à mon propre étonnement. J’éprouvais rapidement des sentiments amoureux par après, en ne sachant pas si cette relation pourrait existé de jour avec une peur sur le cœur.
Ensuite dans ce lieu, ou auparavant, peut-être étais-je déjà avec lui… A certains moments seule. Je me retrouvais par des escaliers, en dessous des immeubles scolaires, qui semblait descendre dans une cave, avec un aspect de grotte, sur une ouverture sur un paysage naturel, comme si la grotte ne demeurait que sur un rebord, était cassée et ouvrait sa vue sur un espace naturel d’une atmosphère en partie belle par la verdure qui la supplantais et moche par cette impression d’égout. Car en-dessous de nos pieds, surgissait une falaise, qui aménagée sur le côté par un chemin, donnait sur une plage, que des personnes de tous âges, fréquentais. Cette plage, avec son eau, se fermait sur une autre falaise d’où seul un creux au fond, semblait venir l’eau qui s’échappait sur on ne sait quel autre lieu. Au-dessus de la falaise, supplantais un cadre de campagne, de champs, de quelques arbres verdoyants. On avait du mal a croire que se cachais tout ce lieu du bâtiment.
La plage n’était sure et fréquentable qu’à certaines heures, et nous arrivâmes assez rapidement à un moment où il fallait courir pour remonter sur la falaise, car les eaux s’endiablait mangeait toute la place et se choquait à la falaise dans une remontée d’eau violente, meurtrière ou toute l’eau nous aspergeait, c’était d’une violence phénoménale presque vivante. Toute personne présente en ces bas-fonds aurait été emportée et noyée. C’était d’ailleurs un lieu interdit que nous n’étions pas censé fréquenter mais connu d’un nombre importants de personnes qui s’échappait hors des heures de cours pour venir se détendre ici. La clef de la porte avait été volée, et jusqu’ici les autorités n’avaient toujours pas compris. C’était comme un secret bien gardé par tous les initiés de la communauté. Un espace de danger et de liberté pour les non-conformistes de tous âges. Dans ces eaux des monstres limaces géantes étaient ramenées sur la plage, pour ensuite être réaspirées par les eaux, se voir projeté sur les côtés de la falaise qui entourait tout ce lac-place, et pour ensuite s’en aller par le creux au fond de la falaise. Ces limaces nous mangeaient-elles ? Il ne fallait pas nager dans cette eau, on ne pouvait que profiter de la plage aux bonnes heures pour se détendre. Et malheur à celui qui y restait hors des bonnes périodes.
Comment tout ce manège pouvait être caché à l’établissement, c’était pourtant le cas et cela semblait durer depuis une éternité, j’étais devenue une des initiées.
]]>Je pense que je vais peut-être réorienté mon journal sur mes rêves.
Ils sont très fructueux. Et me parlent davantage de ma vie inconsciente.
Je suis beaucoup partie à l’aventure… Ce que je retiens à mon réveil par contre, est très mince. Concrètement. Peut-être le plus marquant.
Régulièrement, c’était comme si je partais dans un monde parallèle, un autre monde. Un monde qui m’est propre comme partagé avec les autres. Un deuxième monde.
Cette nuit j’étais partie dans une école… Qui comprenait tous les âges… De la maternelle aux secondaires, voir supérieures. L’atmosphère était sombre, voir lugubre comme lumineuse. Avec un monde de joie et un autre caché. Ordonné et très ordonné, neuf et vieux. Un dédale incompréhensible de pièces et de couloirs d’un bâtiment couvrant une assez grande surface, semblant représenté une multitude d’âges.
Ce dont je me souviens c’est qu’une fois arrivé pendant la nuit, il y avait une deuxième vie nocturne pour certains. En journée j’avais faite la rencontre d’un garçon séduisant et rebelle. Dont je fus fortement attirée sans pouvoir l’expliquer. Dans la nuit nous nous sommes retrouvés pour une aventure, l’attirance était réciproque et nous nous sommes cachés pour vivre cette attirance, à mon propre étonnement. J’éprouvais rapidement des sentiments amoureux par après, en ne sachant pas si cette relation pourrait existé de jour avec une peur sur le cœur.
Ensuite dans ce lieu, ou auparavant, peut-être étais-je déjà avec lui… A certains moments seule. Je me retrouvais par des escaliers, en dessous des immeubles scolaires, qui semblait descendre dans une cave, avec un aspect de grotte, sur une ouverture sur un paysage naturel, comme si la grotte ne demeurait que sur un rebord, était cassée et ouvrait sa vue sur un espace naturel d’une atmosphère en partie belle par la verdure qui la supplantais et moche par cette impression d’égout. Car en-dessous de nos pieds, surgissait une falaise, qui aménagée sur le côté par un chemin, donnait sur une plage, que des personnes de tous âges, fréquentais. Cette plage, avec son eau, se fermait sur une autre falaise d’où seul un creux au fond, semblait venir l’eau qui s’échappait sur on ne sait quel autre lieu. Au-dessus de la falaise, supplantais un cadre de campagne, de champs, de quelques arbres verdoyants. On avait du mal a croire que se cachais tout ce lieu du bâtiment.
La plage n’était sure et fréquentable qu’à certaines heures, et nous arrivâmes assez rapidement à un moment où il fallait courir pour remonter sur la falaise, car les eaux s’endiablait mangeait toute la place et se choquait à la falaise dans une remontée d’eau violente, meurtrière ou toute l’eau nous aspergeait, c’était d’une violence phénoménale presque vivante. Toute personne présente en ces bas-fonds aurait été emportée et noyée. C’était d’ailleurs un lieu interdit que nous n’étions pas censé fréquenter mais connu d’un nombre importants de personnes qui s’échappait hors des heures de cours pour venir se détendre ici. La clef de la porte avait été volée, et jusqu’ici les autorités n’avaient toujours pas compris. C’était comme un secret bien gardé par tous les initiés de la communauté. Un espace de danger et de liberté pour les non-conformistes de tous âges. Dans ces eaux des monstres limaces géantes étaient ramenées sur la plage, pour ensuite être réaspirées par les eaux, se voir projeté sur les côtés de la falaise qui entourait tout ce lac-place, et pour ensuite s’en aller par le creux au fond de la falaise. Ces limaces nous mangeaient-elles ? Il ne fallait pas nager dans cette eau, on ne pouvait que profiter de la plage aux bonnes heures pour se détendre. Et malheur à celui qui y restait hors des bonnes périodes.
Comment tout ce manège pouvait être caché à l’établissement, c’était pourtant le cas et cela semblait durer depuis une éternité, j’étais devenue une des initiées.
]]>C’est inlassablement, qu' Eldorado, le pseudonyme que je viens de lui créer, revient sans cesse dans mon esprit. A chaque tentative réussie de m’en séparer en joie, il revient toujours faire surface à ce moment, si ce n’est pas la menace d’être tuée qui revient.
Pourtant si je reviens il ne voudra pas de moi. C’est comme un duel. Un combat. Mais je n’ai plus décidée de perdre. Je veux gagner. Soit son engagement, soit sa mort si il le faut.
Je sais qu’il revient, quand il le sent. Je sais qu’il sent le duel. J’attends cependant qu’il accepte l’unisson ou le décès.
Nous verrons bien.
Tant de rêves, tant d’échappées inconnues, que j’oublie au réveil avec quelques fragments d’histoires qui me reviennent. Si je pouvais m’en souvenir…
Le labyrinthe de "La louve" pseudonyme que je viens de créer à mon ancienne ville, cette ville si lumineuse c’était transformée en un amas de béton, une structure dangereuse, plus grande qu’elle ne l’est, un endroit peu appréciable. Des monstres l’occupant je pense, c’est étrange… J’ai tellement de rêves, souvenirs qui me parviennent. J’ai l’impression qui s’agit de l’univers d’Eldorado sur La Louve, plutôt que du mien. De ses histoires. Car il ne s’agit pas de souvenirs qui me sont miens. Je ne sais pas difficile de dire. Ma psyché tente peut-être de saisir Eldorado dans ses ressentis, pour le comprendre, car le décalage de réalité est relativement important.
Affaire a suivre.
]]>Un amour se termine et je me sens emportée à la suite dans des souvenirs de mon passé, ma projection dans le futur, mêlée à ce présent d’histoire amoureuse. Plus précisément dans mes rêves. Toutes mes nuits je pars quelque part avec lui, mon ex-petit amis. Comme un magicien je me demande si de son côté il en sait quelque chose ou si au contraire il n’en sait rien. C’est un monde parallèle. C’est un autre monde. Et seulement des morceaux me réapparaissent au réveil. Pratiquement qu’une seule image me revient. Pour cette dernière nuit. Nous étions dans un métro futuriste. Nous nous dirigions vers la tour Eiffel. Je voulais me dépêcher de la voir, ou constater des dégâts, c’était une question de survie, de sauvetage de l’humanité. Mais la tour Eiffel était déjà envahie par une force noire de ce futur étrange dans lequel nous étions. Je ne pouvais plus avancer, je risquais ma vie, mon intégrité. Allez plus loin c’était prendre le risque de tomber dans cette force noire. Il était là, comme un intermédiaire entre cette force noire et la vie. Mon ex-petit amis. Sans savoir si être de ce côté véritablement ou du côté dans lequel je me trouvais. Quelque part il était coincé dans cet intermédiaire. Et c’est comme si je comprenais que je ne pouvais pas l’accompagner plus longtemps à côté et que notre relation prenait fin. Comme si il me l’annonçait aussi d’une certaine manière. Comme une réalité dont il avait conscience, ou prit conscience et que je prenais conscience à ce moment. Je devais fuir, partir. Et je suis partie.
J’ai l’impression qu’un tas de choses de ma vie ensemble font ce rêve et que cela me parle de manière symbolique d’une histoire que je vis. Pour moi c’est tellement la vérité. Pour lui je ne sais pas. Pour les autres non plus.
Dans ce métro il y avait un tas de personnes, comme à moitié inconsciente de ce qu’il ce passait. Continuant de manière monotones leurs vies. La personne qui dirigeait le métro, annonçait qu’elle ne pouvait plus aller plus loin. Que les arrêts à la suite n’était plus joignables, qu’ils repartaient dans l’autre sens ensuite. Certaines personnes sont descendues. Certaines ce sont approchées de la force noire, comme un nuage mouvant gris de tempête, curieux. D’autres sont partis, certains ont prit peur peut-être ? D’autres sont restés de marbres, comme si tout cela était insignifiant. Presque comme si la vie était triste ? D’autres encore était inconscient de la situation et ne s’en inquiétait pas. C’était tellement étrange. Moi j’avais l’impression de constater un drame, quelque chose sur lequel je ne pouvais pas lutter, une chose qui je ne savais pas comment elle allait évoluée mais qui était très inquiétante. Une chose que je ne savais même pas comment elle était arrivée.
Il faudrait que je le dessine. Il faudrait que j’en fasse un dessin-animé. Ou une bande dessinée.
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